La passivité et moi : une affaire de …?

• Etes-vous de ceux ou celles qui pensent que la passivité ne réside que dans le « ne rien faire » ?
• Etes-vous de ceux ou celles que le simple mot « passivité » fait grimper au mur ?
• Etes-vous de ceux ou celles qui automatiquement pensent à une ou plusieurs personnes en particulier dès que ce mot est prononcé ?
• Bref, êtes-vous de ceux ou celles qui pensent que la passivité concerne essentiellement les autres ?

Et pourtant… Les comportements passifs peuvent se traduire par bien des façons auxquelles, sans doute, vous ne vous attendez pas.

En Analyste Transactionnelle, le thème de la passivité tourne autour de cette question :

« Comment puis-je m’y prendre pour ne pas résoudre mon problème ? »

Les stratégies de passivité mises en place par la personne ne sont pas conscientes. L’énergie de la personne n’est pas mise au service de la résolution du problème, elle est détournée de cet objectif.
De ce fait, le problème demeure.

Si le sujet n’en a pas conscience, un observateur extérieur, par contre, peut aisément se rendre compte que la personne, malgré une impression d’être « active », en réalité, ne fait rien pour apporter une solution à son problème.

On distingue quatre types de comportements passifs :

• L’abstention
  • La personne s’occupe à tout autre chose tout en reportant à plus tard le fait de chercher une solution.
    Exemple : Jouer à l’ordinateur plutôt que d’établir sa déclaration d’impôts

• La suradaptation
  • La personne agit en s’adaptant au monde extérieur selon ce qu’elle croit être attendu d’elle.

• L’agitation
  • La personne est en « suractivité ». Elle s’agite beaucoup mais rien de ce qu’elle fait ne vise à résoudre le problème.

• La violence ou “l’incapacitation”
  • La personne devient agressive ou peut s’occasionner une blessure ou tomber malade, ou ressentir une grande fatigue, ce qui va l’empêcher d’agir.

Si la passivité est une réponse inadéquate à la résolution d’un problème, elle manifeste néanmoins qu’une « bonne » raison empêche la personne d’y parvenir.

⇾ Serait-ce une peur,
un manque de motivation,
un trop gros effort à fournir… ?

C’est à ce niveau qu’un coach ou un psychothérapeute peut vous aider à faire toute la lumière sur les raisons profondes qui vous freinent.

Posez-vous déjà les questions suivantes :

• Quel avantage puis-je retirer à ne pas résoudre mon problème ?
• Quel inconvénient pourrais-je rencontrer si je résolvais mon problème ?

Ces 2 questions vous interpellent ? Vous ne savez quoi faire de la réponse ? Vous avez besoin d’être guidé dans la recherche de vos solutions ? Faites-vous aider !

Le coaching mettra en évidence les causes de ces comportements passifs qui vous empêchent d’aller de l’avant et vous aidera à transformer vos freins en opportunités pour vous amener à passer à l’action.

Florence Lheureux
Coach Professionnelle
0478/26 69 08
florence.lheureux@skynet.be